Entonnoir

L’entonnoir.

 

                Certains diront peut-être « Il se trompe », mais je ne pense pas. Je suis aussi sûr de moi que ce taux de bactéries éliminées, c’est-à-dire à 99,9 pour cent. Mais de quoi ai-je cette conviction ? De l’évolution de l’Homme, de l’Humanité. Et c’est en assistant ici et là aux informations données par nos chers médias et consistant en des révélations (vraies ou fausses) d’agressions sexuelles chez nos dominants qui, comme d’habitude, répondent en bégayant avec quelque langue de bois, ou plus souvent, le silence. Ce qui est terrible c’est le fait que personne ou presque chez ces gens de l’info et du pouvoir, n’a la présence d’esprit de constater qu’ils s’enfoncent de plus en plus dans la bêtise inhumaine, la connerie monumentale, la bassesse ignominieuse. Achetez un journal : Vous y lirez de la politique travaillée par des mi-lécheurs de bottes, mi-intellectuels. Ajoutée à cette insipide nourriture quotidienne, les crimes, les meurtres, les guerres, les vérités cachées, les mensonges obséquieusement offerts comme des nectars. Ajoutez-y le sexe, la télévision et le bilan donne l’impression que ces deux mondes (dominants et médias) s’enfoncent dans une vase de laquelle s’ils ne réagissent pas vite, ils deviendront plus vils qu’un vulgaire crachat sur un trottoir. J’ai l’impression que plus ils s’enfoncent, plus cela devient étroit et ils sont pressés comme des fruits mûrs pour une confiture à vomir. Car ne nous y trompons pas. Le beau, le vrai, avance. Lentement. Plus lentement peut-être que l’eau des racines jusqu’au houppier de l’arbre, jusqu’à ses feuilles. L’énergie qui monte est la Réalité de la Terre-Mer : une parturiente enfantant un monde heureux. Un monde au sein duquel ce ne sera plus l’argent et les pouvoirs de toutes sortes qui le feront tourner, mais le bonheur de vivre, et celui d’aimer.  Cette vérité en flèche une autre : Celle qui, avec le sourire de chacun, l’échange, le partage, nous fait acteurs de ce Nouveau Monde et non plus spectateurs de l’ancien. Soyons nombreux, car la solution ne sera jamais dans une politique quelle qu’elle soit (surtout si elle est fixée par une économie libérale, la finance) mais dans ce que l’homme a, enfoui depuis ses plus lointaines origines en lui-même, ce germe-enfant qui à présent doit (veut) grandir pour participer à cette Aura-lumière habillant Gaïa. Ce n’est pas un citoyen vivant en pseudo-démocratie qui dit cela. C’est un être qui veut offrir aux enfants un cadeau magnifique : Une Terre à aimer.

 

M.L.

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